La plus magnifique vue à la tour de Tokyo [PV Yuko][terminé]

Yuko s'appuya contre la barrière. Les disputes devenaient de plus en plus frequante entre la mère et la fille. Jusqu'à maintenant, les disputes n'arrivaient jamais mais depuis que son père était arrivée tout changeait. Elle en avait vraiment marre. La jeune fille pouvait même plus avoir une conversation mère-fille. Soit son père arrivait soit son sujet venait. Sa mère voulait une famille car elle avait perdu la sienne.

- ma mère avait une vie heureuse avec sa mère et son père jusqu'à l'âge de 15ans. Ils sont morts dans un accident. Ils rentraient d'un petit restaurant en amoureux. Tu vois les familles heureuse existent. Et puis tu le verras quand tu auras une famille. Qui sait, je vais peut être passer de marraine à mère. Enfin non enfaite. J'aurais trop peur qu'il prenne mes yeux.

Elle fit un petit regard langoureux. Il n'aimait pas faire souffrir. Elle comprennait. Elle non plus ne voulait pas faire souffrir.

Hideaki espérait voir une famille heureuse, au moins une. La sienne avait été un vrai désastre qu'il essayait chaque de faire oublier à sa jeune maman. Chaque jour, il la ravissait de compliments, l'aidant aux tâches ménagères. Bon ça n'avait plus rien de sexy quand on connaissait cette partie là de sa vie. Un jeune homme très moderne qui mettait la main à la pâte quand il le pouvait. Entre les repas préparés avec amour pour sa mère et les corvées telles que le nettoyage, le linge, la vaisselle ... Et aussi comme un homme, pour réparer ce qui devait être réparé. Il était le seul à aider sa mère car sa soeur était bien trop jeune. Mais il en avait un qui pouvait aussi aider mais qui s'en foutait royalement ... On voyait déjà qui. Ce fameux Hayate toujours fourré dans sa chambre, console en mains face à sa télé qu'il avait pu gardé en soudoyant le vieux. Bien que le blond avait été aidé son jeune frère à soudoyer leur père pour garder certaines affaires de grandes valeurs dans le nouvel petit appartement d'Eri. Petit mais pas tellement pauvre comme on pouvait le penser. Un jour, Hideaki avait débarqué dans la chambre de son frère, balai en main, gants en plastique jaune sur les mains, un sorte de bandana sur la tête. C'était l'hilarité général mais seul Hayate riait pendant que son grand-frère était furax, menaçant de l'étrangler. Le jeune frère continuait toujours à rire sous l'étranglement, comme cinglé. Heureusement, Eri était assez vite arrivé pour empêcher un meurtre qui n'avait rien d'inutile, clarifia le plus grand, en colère ... Mais quand sa mère ria, il ne put s'empêcher d'en rire. C'était si agréable de voir sa mère heureuse comme ça, et de rire, oubliant leur passé ...
Le blond sourit en regardant l'étendue de Tokyo sous ses yeux. Il essayait chaque jour d'amener plus de bonheur à sa famille. D'amener un peu de gaîté même si parfois il avait l'air ridicule comme cette fois-là ... ha si ces conquêtes le voyaient ainsi, elles fuiraient ... ou pas. Trouvant ça chou et tellement drôle, en craquant. Mais Il n'était pas près à s'engager, pas prêts du tout pour le moment.
Il écouta Yuko, toujours en souriant.

-Je la comprends quand elle veut avoir à nouveau une famille aussi heureuse. Mais se laisser avoir et aveugler n'est pas une bonne chose. C'est une illusion.

Il ria un peu en pensant à sa famille reconstruite et sa façon d'être un volatile déplumé pour le moment.

-Ca prendra du temps. Mais pas maintenant ...

Son rire devient franc quand il l'entendit se proposer en mère à la place de marraine. Il attrapa son menton, souriant :

-Tu voudrais avoir des enfants avec moi ? Qui prendra tes yeux ?

Elle était si désirable. Elle était très franche et très sympathique. A la fois ange et démon ... Il remarqua le regard langoureux et ne put s'empêcher de lui voler rapidement un baiser avant de reculer.

-Je n'ai pas pu m'empêcher. De tels lèvres ... Mais bon, ce n'est qu'un simple baiser.

Yuko regarda Terumi qui était perdu dans ses pensées. Son regard était perdu à l'horizon, il devait penser à un souvenir surement à un bon souvenir. Elle aussi en avait des bons souvenirs. Sa mère et elle étaient très proches à l'époque. Chacunes avaient ses corvées et, pour les repas, c'était cela l'humeur des deux. C'était une vie plutôt agréable. Mais depuis que son père était revenu tout avait changé. En plus, elles ne faisaient plus leur sortie entre fille maintenant c'était les sorties en famille. Sauf que pour elle, son père ne faisait pas partit de la famille. Elle sourit presque devans les remarques de son ami.

-Nous sommes encore trop jeune pour former notre propre famille mais le temps viendra où nous serons content de la créer. En plus, si nous avons des enfants toi et moi, ils seront à coup sur à croquer et puis, ils seront gentils, attentionnés comme toi et francs, emmerdeurs comme moi. Par contre, je préfèrerais que nos enfants aient tes yeux plutôt que les miens. Tu n'imagines pas comme c'est dur de vivre avec la couleur de mes yeux.

Elle tourna la tête vers lui et sentit sa main sous son menton. La démon le fixa en silence attendant de voir se qu'il allait faire. Le voir ainsi ne la dérangeait pas. Par contre, elle fut surprise quand il lui donna un baiser. La jeune fille resta meme deux secondes sans voix.

-Ohh non t'inquiète pas. C'est ma faute, je t'ai cherché. Par contre je suis fière de moi, tu as craqué en premier.

Des bons souvenirs, il en avait toujours. Il gardait que ceux où son soit disant père n'y était pas. Il gardait en tête les souvenirs avec sa mère et surtout ceux avec sa petite soeur. Il ne pensait pas à son jeune frère, qu'il pensait plutôt à étrangler qu'autre chose. Il effaçait les mauvais souvenirs et garder les meilleurs à jamais. Il était ainsi. Il ne voulait pas être triste et sombrer en se rappelant des choses tristes.
Pour ça, ils étaient bien trop jeune pour fonder déjà une famille. Il le savait. Il voulait profiter encore un peu avant ça. Aller de droit à gauche, profitant de la vie, la croquer à pleines dents sans se soucier déjà du lendemain. Tout en se souciant par contre des autres, sans les forcer à faire comme lui. Il acceptait leur avis. Les laissant faire leur choix et avoir leur propre avis.
Il sourit quand elle dit que si ils avaient des enfants, ils seraient à croquer. Sans doute. Elle était très belle et lui très mignon. Les chérubins seront donc tous aussi beaux que eux. Il perdit son sourire quand elle parla de la couleur de ses yeux. Ca le peina car il les trouvait magnifique. C'était une belle et certes étrange couleur mais elle était belle. Il aimait bien cette teinte. Il y plongeait presque.

-Pour moi, tes yeux sont magnifiques. N'écoutes pas ce que dise les autres. Ils n'acceptent pas la différence. Enfin, certains si ... D'autre pas. Ca te rend unique.

Il rit quand il dit qu'elle l'avait cherché. C'était vrai. De si jolies lèvres sous son nez et il craque facilement notre casanova national. Il avait de quoi craqué le premier. Dommage, qu'elle soit fidèle mais bon, son soit disant copain voulait partir loin d'elle donc, c'était vraiment dommage ...

-Comment ne pas craquer devant un si délicieux visage ? C'est d'une trop grande tentation.

Le cœur de Yuko rata un battement quand Terumi lui dit qu'elle avait des yeux magnifiques. C'était la deuxième personne à être attirer par son regard. D'ailleurs, elle appréciait quand le regard du jeune homme s'accrochait au sien. Car elle aimait aussi beaucoup les yeux de son ami. Ils étaient d'un vert si magnétique. Si seulement tous les gens pouvaient voir ses yeux de la même manière que les voyaient Narumi et Terumi. Seulement, elle voulait pas que ses enfants subisent la même chose qu'elle.

- tu sais, je suis fière et j'aime la couleur de mes yeux. Seulement tu ne peux pas imaginer comme les enfants peuvent être cruels face à la différence. C'était pour ça que je préfèrerais qu'ils aient tes yeux. Leur vie sera plus simple ainsi. Mais je suis heureuse que tu aimes mes yeux car j'aime également les tiens. Ils sont d'une si jolie couleur.

La jeune fille plongea son regard dans celui du jeune homme. C'était drôle de voir le Casanova craqué aussi facilement. Elle ne l'aurait jamais imaginée. La démon avait pensé que au contraire, il serait difficil de le faire flancher. Un sourire apparut sur ses lèvres. Yuko s'approcha de Terumi et lui donna un bisou.

-bravo tu m'as fait sourire. Prochaine etape le rire. Bonne chance. Je n'ai pas rit depuis des lustres.

Yuko rougit un peu en entendant le compliment sur son sourire. Elle avait beaucoup changé ses derniers temps. C'était presque terrifiant. La jeune fille était plus expressive. Elle avait pleuré, rit et paniqué alors que normalement, elle l'aurait fait qu'intérieurement. Mais d'un coté, elle aimait bien ses changements. La démon passa son bras autour de celui de Terumi. Elle commençait à avoir mal au pied à rester debout ainsi mais elle voulait pas que son ami se sente obliger de partir alors elle fit semblant de rien.

-Je dois avouer que tu es vraiment un dragueur professionnel mais aussi un homme vraiment charmant. La femme qui arrivera à voler ton coeur aura vraiment beaucoup de chance. Seulement j'espère que quand tu l'auras trouvé, tu ne me laisseras pas de côter. Car j'apprécie vraiment être avec toi. J'aime t'entendre faire des compliments sur mes yeux, sur mon sourire ou juste sur...mes lèvres.

Elle devint sérieuse en disant ses mots. Car ils étaient vraiment sincères et elle voulait pas qu'il les prenne à la légère.

Yuko se sentait soulager en l'entendant. C'était une bonne chose pour elle qu'il ne laisse pas de côter. Surtout qu'elle lui avait sourit et parler de tous ses soucis. Alors elle n'aurait pas beaucoup apprécier qu'il la laisse en plan après avoir trouver une amoureuse. La jeune fille commençait vraiment à avoir mal de rester debout. Alors qu'elle pensait ça, Hideaki la souleva comme une princesse. Elle fut d'abbord pris au dépourvu et essaya de descendre mais elle se reprit.

- Je voulais pas te demander de partir car je voulais pas t'obliger. Mais rester debout ainsi sans bouger avec les talons que j'ai, c'est pas vraiment facile enfaite. Par contre, tu étais pas obligé de me porter et tu n'y est toujours pas obliger. D'ailleurs tu as de la chance car s'y tu m'avais connu y a un an et ben tu serais à terre avec le nez cassé. Je n'aime pas vraiment être traiter comme une princesse car j'en suis pas une. Alors on va marcher ou s'assoir à quelque part? Et puis pour les compliments, j'ai juste dit la vérité. J'apprécie vraiment d'être avec toi. Il faudra qu'on fasse souvent des sorties.

Hideaki posa finalement Yuko. Bon d'accors, enfaite, elle avait bien aimé se faire porter ainsi par son ami mais fallait pas pousser le bouchon. Elle n'était pas prête à avouer ça. La démon donna un petit coup de poing sur l'épaule du jeune homme.

-Ce n'est peut être pas courtois mais je l'aurais quand même. Et tu as raison, je suis digne d'être une princesse. Je suis la meilleure, la plus belle, la intelligente et la plus gracieuse. Franchement personne ne m'arrive à la cheville dans ce monde entié. D'ailleurs, tu devrais être flatter de pouvoir marcher avec moi, me tenir, me doucher et avoir pu sentir mes lèvres sur les tiennes.

Elle dit ça en exagérant énormément. Elle savait qu'elle avait beaucoup de qualité mais elle savait aussi qu'elle n'était pas du tout parfaite, bien au contraire.

-J'accepte pour aller marcher. Nous pourrions aller en direction du parc. J'adore l'endroit et puis je pourrais marcher pied nue la-bas. Je n'aurais pas du mettre ses chaussures. En même temps, c'est ma faute. J'essaye trop d'être sexy. Maintenant que j'ai un copain, je devrais plus faire aussi attention quand il est pas là.

Yuko sourit devans le "privilégier". Elle aimait beaucoup parler avec Hideaki. Elle pouvait faire des blagues comme avant sans qu'on la prenne pour une fille avec la grosse tête. Et puis il se prennait bien au jeu. Ce genre de comportement la rendait joyeuse. En plus, c'était bon d'entendre des compliments glisser dans la conversation de temps en temps. Elle appréciait vraiment surtout qu'ils étaient sincères. Quand le mec faisait en compliment, il n'attendait rien en échange. Comme celui qu'il venait de dire par apport à ses chaussures. Elle prit le bras que lui tendait galamment Hideaki pour partir. Comment ne pas sourire devant une personne aussi gentille. Narumi était aussi gentil mais il avait un comportement un peu gamin qui faisait que Yuko n'arrivait pas à sourire comme avec son ami. C'était dommage. Ils sortirent de la tour pour prendre le chemin du parc. Marcher fit du bien au pied de la démon. Ils parlèrent de tout et de rien, commentant se qu'ils voyaient devans les boutiques. Yuko tombe en extase devans une jolie petite robe.

Yuko fixa la robe encore un moment. Elle etait vraiment belle, noire et violette. Mais elle ne pouvait pas se le permettre. Le prix etait trop haut. C'était vrai qu'elle avait beaucoup de fringues super tendance mais elle les avait à des prix assez bas pour que le budjet de sa mère n'en prenne pas un coup. Elle ne pouvait pas se permettre de l'avoir. C'était vraiment dommage car elle lui plaisait vraiment. Si elle l'essayait juste pour voir se elle lui allait. C'était pas comme si elle allait l'acheter, juste essayer. La démon se tourna vers Hideaki un peu gênée de son comportement.

-ça ne te dérange pas si on rentre dans la boutique? Je veux juste essayer la robe. Je sais c'est idiot puisque je ne peux pas l'acheter de toute façon mais j'ai envie de voir comment elle me va. Elle est si belle. Bon si tu veux pas c'est pas vraiment grave.

La jeune fille attendit la réponse de son ami en regardant les gens passés ainsi que la robe qui avait l'air de la narguer sur le faite qu'elle ne pourra jamais l'acheter. C'était chiant de pas avoir beaucoup d'argent. Bon il était pas en manque mais disons qu'ils ne pouvaient pas tout se permettre.

Yuko rentra dans la boutique et prit la robe à sa taille. Elle alla dans une cabine et l'enfila. Puis elle sortit pour voir l'effet dans le miroir. La démon était vraiment sexy dans cette robe. Dommage pour elle. Bon elle allait pas en faire tout un plat. C'était pas si c'était la première fois qu'elle pouvait pas avoir des fringues sur lesquelles elle craquait. La jeune fille fit un tour sur elle-même et fixa Hideaki avec une pose sexy.

-alors comment tu me trouves? Ne suis-je pas divine dans cette robe. Bon aller assez plaisanter. Je vais l'enlever puis après on Va au parc.

Elle enleva la robe et la passa à son ami pour qu'il puisse la remettre sur son ceintre pendant qu'elle remettait ses propres habits. La demoiselle controla si elle n'avait rien oublié et sortit de la cabine avec un grand sourire.

Yuko sortit au bras de Hideaki. Elle était contente d'avoir résister d'acheter la robe. Une fois en dehors du magasin, elle prit un faux air outré.

-comment peux tu regarder d'autres filles alors que tu es en ma compagnie. Tu devrais même pas faire attention à elle vu que tu m'as sous les yeux.

Elle partit tranquillement en direction du parc et tourna le dos à son ami pour pas qu'il remarque son sourire. C'était pas qu'elle se fichait que Hideaki regard les autres filles, c'était juste qu'il faisait se qu'il voulait. Mais la démon voulait quand même l'embeter sur la question, c'était dans sa nature. Après un moment de marche où elle fit semblant de lui en vouloir, ils arrivèrent finalement au parc. La jeune fille pût enfin enlever ses chaussures et marcher dans l'herbe. C'était plus agréable ainsi. Ses chaussures se faisaient trop petite. C'était la dernière fois qu'elle pourrait les mettre. C'était dommage, elle les aimait beaucoup.

Yuko prit ses chaussures dans la main et continua de marcher en sentant l'herbe sous ses pieds. C'était vraiment agréable cette sensation. Comme si on te chatouillait sans arret les pieds. Alors qu'elle marchait tranquillement, la jeune fille sentit les mains de Hideaki sur ses hanches. Son corps se crispa dans un premier temps par habitude mais elle se detendit assez vite. Un frisson la parcourut en sentant le souffle de son ami dans son cou, un autre suivit en entendant ses paroles. Elle se détacha de lui et pour la première fois ne réussit pas à cacher ses rougeurs malgré son masque de glace.

-et si.. Si tu arrêtais déjà de dire des choses pareil. J'aime les compliments mais quand même. Je suis sur qu'il y avait une fille plus jolie que moi dans se magasin. Et d'ailleurs je suis sur que tu as trouvé un tas de fille plus jolie que moi depuis qu'on se promène. Et puis ça se fait pas de dire des choses pareilles à une fille qui essaye d'être fidèle à son copain. Même si j'apprécie se que tu as dit. A cause de toi j'arrete pas de faire des choses bizarre. Je ris, je rougis, je bégaie, j'ai un visage expressif.

(difficile d'etre fidèle quand tu es pas sur que le copain va se reconn un jour)

Yuko écouta les excuses de Hideaki. Elle avait pas vraiment dit ses mots pour gronder son ami mais surtout parce qu'elle était gênée. Elle savait que son ami disait les mots qu'y lui venait sans le vouloir. Elle savait aussi que montrer ses émotions étaient une chose normale mais pas pour elle. La jeune fille s'y était habitué à son masque indifférent. Personne ne pouvait lire en elle, elle avait l'impression d'être protéger. Personne ne pouvait lui faire du mal. La démone se coucha aussi dans l'herbe et se servit de Hideaki comme coussin. C'était dommage. Elle se sentait plus proche de son ami que de Narumi. Yuko laissa son esprit partir en regardant les nuages au dessus de sa tête. Elle ferma les yeux et écouta les bruits autour d'elle. Tout le monde avait l'air si heureux. Elle était sur que c'était qu'une facade et que tous souffrait pour quelque chose.

Yuko aimait bien cette atmosphère. Elle se croirait dans une bulle. Tous les gens autour faisaient du bruit, bougeaient, criaient, riaient et, elle, elle était tranquille dans l'herbe ne faisant aucun bruit. Le vent soufflait doucement dans les arbres. Ceux-ci créaient une douce mélodie en harmonie. Elle l'entendait dans sa tête. C'était doux, serein. Vraiment elle aimait bien être la. Seulement toute bonne chose à une fin. Le Portable d'hideaki sonna. Il commença à bouger alors elle fut obligée d'en faire autant. Quand elle comprit qu'il devait y aller, elle en fut vraiment triste. Elle s'était sentit vivante pendant le temps qu'elle avait passé avec le blond. Mais elle savait qu'elle n'arrivera pas à le rester si il n'était pas là.

-on peut rien n'y faire, si tu dois y aller. Par contre n'oublie pas de m'appeler si tu as du temps libre. J'ai vraiment envie de passer encore beaucoup de moment avec toi.